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Les Enfants du crépuscule

Revenant sur les moments difficiles passés avec les familles et l’entourage envahissant, expliquant ses efforts pour instaurer un climat de confiance, Torey nous raconte ses expériences, et les petites victoires qui lui redonnèrent espoir. Les Enfants du crépuscule est l’histoire d’une femme déterminée et de trois êtres humains luttant contre leur handicap. Avec compassion, sensibilité et humour, Torey nous livre une réflexion profonde et inoubliable et nous rappelle l’incroyable force et la beauté de l’esprit humain.

The Very Worst Thing

C’est exactement le genre de roman que l’on peut attendre de Torey Hayden, une habituée des récits documentaires… C’est un roman bien ficelé destiné à un public jeune.
Kirkus Review

Un livre pour tous ceux qui ont été enfants un jour.
Il Libraio

En tant qu’institutrice, je suis toujours à la recherche de ces livres qui parlent d’écoliers, et offrent un monde dans lequel nous, en tant que classe, pouvons entrer. The very worst thing est l’un des meilleurs livres que j’ai utilisé en classe.

Torey Hayden affronte des problèmes auxquels nos enfants doivent faire face mais qu’ils ont souvent du mal à exprimer. The very worst thing encourage les discussions sur les comportements tyranniques, la défense de ses opinions, la famille, les foyers d’accueil, l’amour, l’amitié, et le fait de garder des animaux sauvages en captivité.

Chaque après-midi, après la lecture, mes élèves me suppliaient de « lire un autre chapitre ». Ils s’identifiaient à David et j’entendaient fréquemment « souviens-toi de ce que David a fait.. », les enfants aimant se référer à The very worst thing
Nous avons invité un expert de la faune sauvage dans notre classe et il était impressionné par les connaissances de mes élèves, qui provenaient de ce qu’ils avaient expérimenté avec ce livre.
Si vous êtes le genre de professeur qui apprécie les romans ancrés dans la vraie vie, qui encouragent le goût du défi et la discussion, The very worst thing sera pour vous un bijou, comme il le fut pour moi !
Yvonne, enseignante en classe de CE2

J’ai aimé ce livre car il parle de problèmes auxquels les enfants de mon âge font face… et j’aimerais aussi posséder un hibou.
Mattie H., 10 ans, Brookline School

L’Enfant blessée

L’année scolaire qui suivit se trouva être l’une des plus éprouvantes, étonnantes et gratifiantes de sa carrière, alors que Torey se battait pour briser la glace avec une enfant apparemment en difficulté et dans le besoin, et en même temps, pour créer une atmosphère propice à l’apprentissage et à la coopération dans une classe qui avait sombré dans le chaos.

Ce fut un voyage difficile entrecoupé d’obstacles apparemment insurmontables, assombri par des révélations absolument terrifiantes – mais encouragé par des avancées petites ou impressionnantes – et au cours duquel un professeur intrépide se promet d’aider une enfant « sans espoir », tout en la dirigeant patiemment et avec amour vers un jour nouveau.

Dans ce document émouvant, Torey Hayden fait preuve à nouveau de la perspicacité, de l’intelligence, de l’humour et surtout du grand cœur qui ont fait le succès international de ses précédents livres, tout en rendant sa lecture indispensables à toute personne directement touchée ou intéressée par le traitement des enfants perturbés émotionnellement.

L’Enfant au chat

Ainsi commence le nouveau roman de Torey Hayden, une histoire fascinante traitant d’interactions familiales, de perturbations émotionnelles et, finalement, de créativité.

Conor, âgé de neuf ans, arrive dans la salle de jeux créatifs du pédopsychiatre James Innes avec le diagnostique d’enfant « autiste ». Sa mère, Laura, un écrivain énigmatique et distant, ne sait que faire de lui. Son père, propriétaire d’un ranch, en cours de divorce avec Laura, ne remarque rien de spécial chez Conor.

Morgana, sa petite sœur âgée de six ans, est convaincue qu’il voit des fantômes.

James, peu à peu convaincu que Conor n’est pas autiste, est plongé dans le monde étrange des « choses que les chats savent » imaginé par Conor, avant que Morgana ne lui raconte les histoires de son ami le « Roi Lion ».

Mais James est plus attiré encore par le monde de Laura, un monde qui est d’abord celui d’une femme seule et plutôt difficile, puis il découvre celui créé par son imagination, un monde monté de toutes pièces mais criant de vérité et peuplé de personnages si banals qu’il est difficile de savoir si ils sont réels ou imaginaires.

C’est un roman à multiples facettes, riche, magnifiquement écrit, un véritable cadeau, spécialement pour ceux qui aiment réfléchir à ce qu’ils ont lu une fois la dernière page tournée.

– Carol Thorson

La Fille du tigre

Au départ, Torey ne souhaitait pas écrire de suite à L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS. Lorsque L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS fut publié, son éditeur pensait que la vie de Sheila après avoir quitté la classe de Torey était si lugubre qu’il valait mieux ne pas en parler. Torey sentait également qu’il serait difficile d’écrire une suite à L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS car L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS était « une sorte de conte de fées » et avait laissé au lecteur l’impression que « tout est bien qui finit bien ». Une suite aurait rendu « la réalité trop apparente ».

Finalement, elle écrivit LA FILLE DU TIGRE par défi envers Sheila qui l’avait taquinée en lui disant qu’elle ne le ferait jamais.

L’Enfant qui ne parlait pas

En écrivant L’ENFANT QUI NE PARLAIT PAS, Torey voulait aborder spécifiquement les difficultés que rencontrent les professionnels dans l’interprétation de comportements incohérents. Au moment d’écrire L’ENFANT QUI NE PARLAIT PAS, elle était surprise du nombre de personnes qui étaient passées par « là », c’est-à-dire les rites sataniques, les dédoublements de personnalité, etc., et voulait montrer à quel point il est difficile pour un professionnel de déterminer ce qui se passe exactement – et comment les biais personnels peuvent aisément affecter le diagnostique.

L’ENFANT QUI NE PARLAIT PAS est devenu le livre de Torey le plus populaire après L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS. Il a atteint les listes de best-sellers dans cinq pays.

Torey ne sait toujours pas vraiment ce qui est arrivé à Jadie.

Une Enfant comme les autres

Torey n’avait pas prévu d’écrire sur Ladbrooke dans UNE ENFANT COMME LES AUTRES. Elle comptait juste écrire sur les enfants et inclure Ladbrooke en insistant uniquement sur son rôle d’aide dans la classe. Mais en avançant dans l’écriture du livre, Torey a été surprise de le voir se transformer en l’histoire de Ladbrooke.

Effrayée à l’idée que ses éditeurs soient mécontents de la liberté qu’elle avait prise par rapport au synopsis qu’ils avaient acheté, elle envoya dans un mouvement de panique les 250 premières pages du manuscrit à son éditeur au moment de Noël cette année-là, pour savoir si elle pouvait continuer. Heureusement, tout le monde aima cette « histoire qui s’est écrite toute seule ».

La Forêt de tournesols

En 1980, Torey rendit visite à des amis en pays de Galles. Assise devant l’âtre dans leur cottage, attendant que son thé infuse, elle prit le journal local et tomba sur un article qui racontait l’histoire d’une femme de la région qui avait fait partie du programme nazi Lebensborn (« source de vie ») pendant la seconde Guerre Mondiale. Elle écrivit aussitôt à son agent pour lui annoncer qu’elle avait été « saisie d’une inspiration soudaine ». Cela ne l’a jamais quitté et quatre ans plus tard paraissait LA FORÊT DE TOURNESOLS.

Torey utilisa l’environnement qui entoure le cottage de ses amis au Pays de Galles comme cadre de son roman. « Mara », le personnage principal de LA FORÊT DE TOURNESOLS, n’est pas une personne réelle mais tout simplement un personnage imaginé par Torey pour lui permettre d’aborder les problèmes liés au traumatisme générationnel.

Torey dit qu’elle ne sait pas si elle doit se sentir flattée ou insultée par le fait que de nombreux lecteurs, et même certains critiques, de LA FORÊT DE TOURNESOLS refusent de croire que Mara est un personnage imaginaire.

Kevin le révolté

Torey travailla également avec Sheila et Jadie pendant cette période passée avec Kevin.

KEVIN LE REVOLTÉ a été pendant plusieurs années le livre favori de Torey. « J’ai eu l’impression d’avoir trouvé mon style d’écriture avec KEVIN LE REVOLTÉ », dit-elle. « L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS était un peu maladroit car je débutais, et, si j’en avais la possibilité, je réécrirais entièrement L’ENFANT DES AUTRES. »

L’Enfant des autres

C’est LE livre sur lequel Torey ne peut pas revenir, ni relire. Il fut écrit très rapidement, environ 20 pages par jour, et, étant à l’époque très occupée avec sa classe, Torey n’a pas pu prendre beaucoup de temps pour revenir dessus. Elle dit ne pas pouvoir le relire maintenant parce que « l’écriture est vraiment mauvaise » et cela gâche l’histoire selon elle.

Torey reconnaît qu’il y a une autre raison à son incapacité à revenir dessus : c’est le fait que L’ENFANT DES AUTRES est « un peu un livre revanchard », exprimant ses frustrations à l’encontre du professeur appelé Edna dans le livre et de la loi pour l’intégration des enfants spéciaux. « Cela aurait été probablement un meilleur livre si j’avais été un peu moins en colère quand je l’ai écrit », dit-elle.

L’Enfant qui ne pleurait pas

L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS n’était pas un livre au départ. Torey l’a écrit comme une histoire personnelle une manière de se rappeler les moments extraordinaires qu’elle a passés avec Sheila. C’est seulement une fois le livre fini qu’elle a envisagé de le publier.

L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS est le premier livre de Torey, et le premier travail qu’elle ait présenté pour une publication. L’histoire en elle-même a été écrite très rapidement – seulement 8 jours depuis le premier mot jusqu’au dernier. 42 jours se sont écoulés entre le moment où elle a commencé à écrire L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS et celui où elle a signé un contrat avec G. P. Putnam’s Sons pour le publier.

L’ENFANT QUI NE PLEURAIT PAS a été traduit en 28 langues et adapté sous diverses formes, dont un opéra en un acte, un spectacle de marionnettes japonais, et un film TV.